Le lancement de ma nouvelle conférence « Libérer son pouvoir de décision », destinée aux chefs d’entreprise, managers, décideurs et responsables associatifs, a eu lieu le 15 mars au Palais Brongniart (Paris) au sein d’une société au cœur de l’innovation : « U Change » dirigée par Guillaume Buffet.
Une 1ère réussie et volontairement intimiste. C’est sous le regard bienveillant et intéressé d’une vingtaine de personnes engagées dans le monde économique, politique, artistique ou associatif, que j’ai décidé de lancer officiellement ma nouvelle conférence.
Avec une certaine impatience, je suis sorti de ma zone de confort porté par la curiosité de recevoir leurs avis sur les thématiques centrales de la conférence : la conscience du pouvoir de nos décisions, nos manières d’interpréter les événements et l’importance de notre état d’esprit, le rôle de notre psychologie dans les résultats que nous obtenons…
Un moment privilégié qui m’a permis de partager ce que mes propres expériences de vie personnelle et d’entrepreneur m’ont enseigné. C’est avec plaisir que j’ai abordé les opportunités procurées par le fait de sortir de nos cases, de rompre avec nos idées toutes faites et nos conditionnements. En transmettant ma vision sur les bienfaits du doute j’ai exprimé ma profonde conviction selon laquelle
pour avancer et réussir, il faut se planter… A bon entendeur !
J’ai pris le risque et ça a payé. Je me suis enrichi de belles pistes d’amélioration (ce qui était aussi l’objectif) et le public est reparti avec ses propres possibilités d’évolution à l’image de cette auditrice (attachée parlementaire) qui m’a écrit : « Je dois prendre des décisions importantes et ta conférence tombait à point nommé. Elle m’a permis de m’aider à y voir plus clair, comme une petite torche au milieu de la nuit. »
La confirmation, à l’issue de l’intervention, par Marc Goussal (Directeur RH et Communication chez TechnicAtome) de recourir en interne à ma nouvelle conférence est un véritable signal positif car ma conférence est justement dédiée aux personnes qui, comme Marc, souhaitent que ça avance.
Après cette expérience, une idée se confirme : il est préférable de se lancer sans trop attendre. Comme on dit dans la Silicon Valey : « When it’s pretty, it’s too late. ».
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